1. |
Laisse Les Hommes Tomber
07:26
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Il y a l'enfer que l'on parfait
Il y a le fer qui nous reflète
Je ne veux pas faire ce qu'ils ont fait
Déjà
Il y a la sphère nouée de faix
Il y a ces faits qui nous affectent
Je ne veux pas faire ce qu'ils ont fait
Déjà
- - -
Dans le reflet noir ouvert
Routes et regrets vont de pair
En pantin revenu à lui
Respire mon esprit
Cherche les sept beautés
Chasse les autres sombrées
- - -
Laisse les Hommes tomber
Cessent nos ailes d'attendre
Sous les astres las, véraces de nuit
Nos temps embrassent l'oubli
Lestent nos âmes plombées
Blessent nos armes dardant
Désert d'Univers lui m'appelle
Qu'est ce que les aubes sont les mêmes
Règnent de renaitre
Même matin émane, à nu d'image, hypothèse
Monde humain, son mal, par ses dommages, l'hypothèque
- - -
Les tains s'éclairent
L'ancrage étincelle
L'heure écale les cœurs pâles
Vernis d'un gris de métal
Peine à terre
Regard vers le ciel
Feu dépare les mémoires
Fuse et puis nous sépare
- - -
L'astrale vitesse j'avale
Sagace cavale passe
L'angoisse s'exhale, glace
Il y a l'enfer
Il y a le fer
Je ne veux pas faire ce qu'ils ont fait
Il y a la sphère
Il y a ces faits
Je ne veux pas faire ce qu'ils ont fait
Stressent ces voix résonnées
Au sol, bas, cruel
Quand leur plainte cessera
Quelle lente voie raisonnée
Sondera les séquelles
S'infectant sous mes choix ?
- - -
Seule là...
- - -
Les tains s'éclairent
L'ancrage étincelle
L'heure écale les cœurs pâles
Vernis d'un gris de métal
Comme cette comète erre
Et hier était celle
Qui ocellait le noir
Je file au fard du soir
Peine à terre
Regard vers le ciel
Feu dépare les mémoires
Fuse et puis...
- - -
Laisse les Hommes tomber
Cessent nos ailes d'attendre
Désert d'Univers lui m'appelle
Qu'est ce que les Hommes sont les mêmes
Rêvent de renaitre
Du présent, otages
Cherchant leur voyage immortel
- - -
Dans le reflet noir ouvert
Routes et regrets vont de pair
En pantin revenu à lui
Respire mon esprit
Laisse les Hommes tomber
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2. |
Aux Cimes Des Signes
07:01
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Oui, Diane nacrée nous nuit
Luit à voler nos nuits
Dorment les lieux
Décembre dresse ses sommets
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Marbre les ombres des arbres de sa clarté
Marque nos sombres désirs et les combes des âmes
Et comptent nos désastres
Marchons en nombre dans les âges désargentés
Marchands des ambres déserts, nos décombres de Mars
Et comptent nos désastres
Oui, Diane nacrée nous nuit
Luit à voler nos nuits...
Puis à nommer minuit
Lui ânonné s'enfuit
Quand les cieux descendent des forêts
Que leurs bleus dansant l'air follet
Donnent chaud
- - -
Crânes, les signes présagent
Clament des cimes qu'ils savent
A qui leurs dates s'adressent d'après leurs astres adeptes
Crânes, les signes présagent
Clament des cimes qu'ils savent
Pour qui voit leurs promesses, ce don sera une dette
- - -
Malgré les rondes des corbins des à-côtés
Même légère once n'hésite, l'exil nous dévaste
Et comptent nos désastres
Masser nos contes de carmins désincarnés
Maintenant mimons les devins, demain nous désarme
Oui, diane nacrée nous nuit
Luit à voler nos nuits
Quand les dieux étendent leurs secrets
Camaïeu de leurs yeux d'en haut
Donne chaud
- - -
Crânes, les signes présagent
Clament des cimes qu'ils savent
A qui leurs dates s'adressent d'après leurs astres adeptes
Crânes, les signes présagent
Clament des cimes qu'ils savent
Pour qui voit leurs promesses, ce don sera une dette
- - -
Qui sait leur sorcellerie fauve ?
Qui fait notre hypnose?
Ivre est l'hypnose
Ovni, tonnerre
A terre !
- - -
Nos courages de loups à rage
Il est temps !
Nos courages de loups à rage
Que nos âmes soleillent
Au delà des sommets
Leurs nuages de boue en cage
Il est temps du diapré zodiaque
D'appeler l'orage
Quels mythes phrasent ainsi nos fables
Et incisent nos failles ?
Mais si fanent aussi nos flammes
Faut-il qu'on s'y fasse ?
Sonne la fin de l'ineffable
Il est temps du diapré zodiaque
D'après l'oracle
D'appeler l'orage
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3. |
Origami De Morphée
08:30
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En moi
Quand trop d'heures déçoivent
Pire qu'ennui
Je ne sais que faire, que qualifier
La légère fadeur de toute quantité
C'est là
Aux lueurs du soir
Au répit
Que naissent ces clichés carminés
Qui s'avèrent saveurs d'humeur salée
Ils descendent sous les sens
- - -
Et d'une seule à mille formes
L'idée de 100 teintes vives dort
Rêveries mes lavis d'or
Peints par l'état
Dessinés des songes du for
Là déclinent d'étranges décors
- - -
Soma
Comme coma sonna
Veut répit
Mais rien ne fait taire réalité
Se génère rageur des heurts alités
Surmoi
Que les erreurs surnagent
Détaille d'évités invités
Qui, sévères, s'adhèrent aux peurs cachées
Lignes d'avant, vives mais cendres
- - -
Sans qu'on m'entende, simulée de tous les niveaux
Secondes me mentent et minutée de regards nouveaux
Je suis unie mais là-bas, à minuit de moi
Comme guidée, commis d'insaisissable
Si la toile et la valeur s'évadent
Et qu'eux miment, s'inversent les traits
Que l'extra c'est l'abstrait
C'est que l'état de l'endroit
N'existe pas
(Etre à toucher la grâce
Et pas la gravité)
- - -
Et d'une seule à mille formes
L'idée de 100 teintes vives dort
Rêveries mes lavis d'or
Peints par l'état
Dessinés des songes du for
Là déclinent d'étranges décors
- - -
Pensées
Mélangent magies d'eaux noires
Mots moirés marient messages
D'origami de Morphée
Le sorcier charme
Le sommeil chasse
Les sons s'écharpent
Le sens m'échappe
- - -
J'ai attrapé mes hôtes
Pourvu qu'ils s'apprivoisent
J'aime à scanner leurs os
Décrire leur décryptage
- - -
De ceux-là
Qui est le vrai "moi"?
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4. |
Distingue l'Animal
08:03
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Quand les ombres des oiseaux de proie
S'ensevelissent dans les airs
Que les ordres des lois attendent là et amendent les dés
Là s'aiguisent leurs pièges frais
- - -
Frêles oscillent leurs forces
Plus fragiles que les fils
De leur filet offert
Alors
Que l'adversaire s'éthère
Toutes leurs troupes suivent l'or
Comme amiral
Dans cette guerre caniculaire
Le sol de sel, le soleil assomment
Alors
Que leur égo s'altère
Une forme en décor
Est-ce un mirage ?
- - -
Ils distinguent l'animal
A distance salive l'arme
Son image cavale
Gratter ses cornes aurifères pour garder sa limaille
Gagner le trophée des fiers avec son attirail
Ciel bénit d'enfer
Gagne l'envie première
- - -
Attrape
Ces âmes d'ailleurs
Rattrape
Au galop leur coeur
A Terre
Qui n'est prédateur ?
- - -
Court l'évadé...
Talatata, pattes tapent aux temps tard
Talatata, pâle état attend là
Talatata, palatable attentat
Tais-toi, tais-toi !
- - -
Quand les ombres des oiseaux de proie
S'ensevelissent dans les airs
Les yeux sombrent vers les autres éclats
Tous révisent leurs prières
Où est l'amoral ? Qui est l'animal ?
- - -
Vite, déglutir la gorge
Pour goûter à l'ultime
L'utile à l'effort
Alors
Tout les indiffère
Quand enfin, cesse le tort, c'est ce corps
Qui seul, admirable, sort
- - -
Ils distinguent l'animal
A distance salive l'arme
Son image cavale
Gratter ses cornes aurifères pour garder sa limaille
L'oeil sait la fin au ciel annoncée
Gagner le trophée des fiers avec son attirail
L'oeil sait la fin au ciel annoncée
- - -
Le déni tombe
Regards miroirs déparent le noir
Ils sont les prises de leur proie
Le ciel bénit d'enfer
Fait le mystère
Le ciel bénit d'enfer
Sait que les uns, les autres
Sont à raison innocents
- - -
Attrape
Ces âmes d'ailleurs
Rattrape
Au galop leur cœur
A Terre
Qui n'est prédateur ?
Equipe sous les astres
Quand leur rêve n'a pas de mot
Le calme est total, leurs totems et leurs os
Sous leurs faux airs voient
Leurs alter-égos
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SCEAU DE L'ANGE Rhône-Alpes, France
Made by an intense and contrasted universe, Sceau de l'Ange is over all an open-minded Progressive Metal! A sophisticated yet accessible music, a female voice that doesn't always go where you expect it to, French poetry with their own musicality and mainly the desire to travel from the abyss to the atmosphere and from the microcosms to the universe... ... more
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